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Br illant comme toujours! Votre ouverture sur AWS qui éternue et l'Europe qui chope la grippe numérique est parfaite - la souveraineté numérique, ce décor de Noël poussiéreux du grenier.

Justement, dans vos Bigdils, TotalEnergies "cède GreenFlex à Oteis." C'est un signal fort: GreenFlex était leur filiale de conseil en transition écologique, celle qui aidait d'autres entreprises à verdire leurs opérations. La vendre maintenant, juste après la condamnation pour greenwashing, c'est comme si TotalEnergies décidait: "On arrête de faire semblant de conseiller les autres sur des transitions qu'on ne fait pas nous-mêmes."

C'est cohérent avec leur autre vente mentionnée hier (50% des batteries en Allemagne): face à la pression financière (pétrole à $57), TotalEnergies élagge tous les actifs "transition énergétique" non-rentables pour protéger les dividendes (~6,6%). C'est comme le Louvre sans caméras de surveillance que vous mentionnez: on garde les œuvres (le pétrole), on bazarde la sécurité (la crédibilité verte).

Votre comparaison avec AWS est aussi pertinente pour TotalEnergies: une dépendance gravée dans le marbre. Les entreprises clientes de GreenFlex vont découvrir ce que Stephen Kelly appelle "le coût final de migration extrêmement élevé" - difficile de changer de consultant vert quand toute ta stratégie ESG est construite sur leurs recommandations. Merci pour ce décryptage quotidien du théâtre économique 👏

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